Código Procesal Penal Federal (2019)
Decreto Nacional 118/2019
Artículo 70.
Libertad de declarar.
Las citaciones al imputado no tendrán por finalidad obtener una declaración sobre el hecho que se le imputa, pero éste tendrá la libertad de declarar cuantas veces quiera.
[...]
El acta podrá ser reemplazada, total o parcialmente, por otra forma de registro; en ese caso, el representante del Ministerio Público Fiscal determinará el resguardo conveniente para garantizar su inalterabilidad e individualización futuras.
Si por imposibilidad física el imputado no pudiera oír o expresarse verbalmente, o no comprendiera el idioma nacional tendrá derecho a designar su propio traductor o intérprete, pero si no lo designare será provisto de uno a costa del Estado, para que le transmita el contenido del acto o de la audiencia.
Artículo 106.
Idioma.
En todos los actos procesales se utilizará el idioma nacional. En caso de corresponder se utilizarán formato y lenguaje accesibles. Si alguno de los intervinientes por imposibilidad física no pudiera oír o entenderlo, deberá designarse un traductor o intérprete de oficio y/o disponer los apoyos necesarios para garantizar su comprensión y debida comunicación. Cuando la persona no se exprese en idioma nacional, en lo posible, se dejará constancia en ambas versiones.
Artículo 288.
Oralidad.
Toda intervención de quienes participen en la audiencia de debate se hará en forma oral. Las resoluciones serán dictadas y fundamentadas verbalmente por los jueces y se entenderán notificadas desde el momento de su pronunciamiento, lo que se hará constar en el registro del debate.
Los jueces no admitirán la presentación de argumentaciones o peticiones por escrito durante la audiencia, sin perjuicio de autorizar a los intervinientes a recurrir a notas para ayudar a su memoria.
Sin embargo, quienes no pudieren hablar o no lo supieren hacer en el idioma nacional, intervendrán por escrito o por medio de intérpretes. |
Code de procédure pénale fédérale (2019)
Décret national n° 118/2019
Article 70
Liberté de déclaration
La convocation de l'accusé n'aura pas pour but d'obtenir une déclaration sur le fait qui lui est imputé, mais il sera libre de faire une déclaration autant de fois qu'il le souhaite.
[...]
La loi peut être remplacée, totalement ou partiellement, par une autre forme d’enregistrement; dans ce cas, le représentant du Ministère public fiscal doit déterminer la protection appropriée pour garantir son inaltérabilité et son identification futures.
Si, du fait d'une impossibilité physique, l'accusé ne peut pas entendre ou s'exprimer verbalement, ou qu'il ne comprend pas la langue nationale, il aura le droit de désigner son propre traducteur ou interprète, mais s'il ne le désigne pas il en recevra une aux frais de l'État afin de pouvoir en transmettre le contenu de l'acte ou de l'audience.
Article 106
Langue
Dans tous les actes de procédure, la langue nationale doit être utilisée. Le cas échéant, un format et un langage accessibles sont utilisés. Si l'un des participants ne pouvait pas l'entendre ou le comprendre en raison de son impossibilité physique, un traducteur ou un interprète doit être nommé et/ou fournir le soutien nécessaire pour garantir sa compréhension et une communication adéquate. Lorsqu'un justiciable ne s'exprime pas dans la langue nationale, sa déclaration doit être enregistrée dans les deux versions dans la mesure du possible.
Article 288
Procédure orale
Toute intervention de ceux qui participent au débat doit se faire oralement. Les résolutions seront dictées et justifiées oralement par les juges et doivent être comprises comme notifiées dès le moment de leur prononcé qui sera enregistré dans le compte rendu du débat.
Les juges n'accepteront pas la présentation d'arguments ou de requêtes par écrit au moment de l'audience, sans préjudice d'autoriser les parties à recourir à des notes comme aide-mémoire.
Toutefois, ceux qui ne peuvent pas parler ou ne savent pas le faire dans la langue nationale interviendront par écrit ou par l’intermédiaire d'un interprète. |