|
Allemagne Lois diverses (Dispositions linguistiques)
|
1) Loi constitutionnelle sur les tribunaux (1975)
2) Loi sur la procédure administrative (1976)
3) Code de procédure pénale (1987)
4) Loi sur le changement de nom des minorités (1997)
5) Code civil (2002)
6) Loi sur la maîtrise et la limite de l'immigration et sur la réglementation du séjour et de l'intégration des citoyens européens et étrangers (2004)
Gerichtsverfassungsgesetz (1975-2021) Gerichtssprache Artikel 184 Die Gerichtssprache ist deutsch. Das Recht der Sorben, in den Heimatkreisen der sorbischen Bevölkerung vor Gericht sorbisch zu sprechen, ist gewährleistet. Artikel 185 1) Wird unter Beteiligung von Personen verhandelt, die der deutschen Sprache nicht mächtig sind, so ist ein Dolmetscher zuzuziehen. Ein Nebenprotokoll in der fremden Sprache wird nicht geführt; jedoch sollen Aussagen und Erklärungen in fremder Sprache, wenn und soweit der Richter dies mit Rücksicht auf die Wichtigkeit der Sache für erforderlich erachtet, auch in der fremden Sprache in das Protokoll oder in eine Anlage niedergeschrieben werden. In den dazu geeigneten Fällen soll dem Protokoll eine durch den Dolmetscher zu beglaubigende Übersetzung beigefügt werden. 1a) Das Gericht kann gestatten, dass sich der Dolmetscher während der Verhandlung, Anhörung oder Vernehmung an einem anderen Ort aufhält. Die Verhandlung, Anhörung oder Vernehmung wird zeitgleich in Bild und Ton an diesen Ort und in das Sitzungszimmer übertragen. 2) Die Zuziehung eines Dolmetschers kann unterbleiben, wenn die beteiligten Personen sämtlich der fremden Sprache mächtig sind. 3) In Familiensachen und in Angelegenheiten der freiwilligen Gerichtsbarkeit bedarf es der Zuziehung eines Dolmetschers nicht, wenn der Richter der Sprache, in der sich die beteiligten Personen erklären, mächtig ist. Artikel 187 1) Das Gericht zieht für den Beschuldigten oder Verurteilten, der der deutschen Sprache nicht mächtig ist, einen Dolmetscher oder Übersetzer heran, soweit dies zur Ausübung seiner strafprozessualen Rechte erforderlich ist. Das Gericht weist den Beschuldigten in einer ihm verständlichen Sprache darauf hin, dass er insoweit für das gesamte Strafverfahren die unentgeltliche Hinzuziehung eines Dolmetschers oder Übersetzers beanspruchen kann. 2) Erforderlich zur Ausübung der strafprozessualen Rechte des Beschuldigten, der der deutschen Sprache nicht mächtig ist, ist in der Regel die schriftliche Übersetzung von freiheitsentziehenden Anordnungen sowie von Anklageschriften, Strafbefehlen und nicht rechtskräftigen Urteilen. Eine auszugsweise schriftliche Übersetzung ist ausreichend, wenn hierdurch die strafprozessualen Rechte des Beschuldigten gewahrt werden. Die schriftliche Übersetzung ist dem Beschuldigten unverzüglich zur Verfügung zu stellen. An die Stelle der schriftlichen Übersetzung kann eine mündliche Übersetzung der Unterlagen oder eine mündliche Zusammenfassung des Inhalts der Unterlagen treten, wenn hierdurch die strafprozessualen Rechte des Beschuldigten gewahrt werden. Dies ist in der Regel dann anzunehmen, wenn der Beschuldigte einen Verteidiger hat. 3) Der Beschuldigte kann auf eine schriftliche Übersetzung nur wirksam verzichten, wenn er zuvor über sein Recht auf eine schriftliche Übersetzung nach den Absätzen 1 und 2 und über die Folgen eines Verzichts auf eine schriftliche Übersetzung belehrt worden ist. Die Belehrung nach Satz 1 und der Verzicht des Beschuldigten sind zu dokumentieren. Artikel 188 Personen, die der deutschen Sprache nicht mächtig sind, leisten Eide in der ihnen geläufigen Sprache. Artikel 189 1) Der Dolmetscher hat einen Eid dahin zu leisten, daß er treu und gewissenhaft übertragen werde. Gibt der Dolmetscher an, daß er aus Glaubens- oder Gewissensgründen keinen Eid leisten wolle, so hat er eine Bekräftigung abzugeben. Diese Bekräftigung steht dem Eid gleich; hierauf ist der Dolmetscher hinzuweisen. 4) Der Dolmetscher oder Übersetzer soll über Umstände, die ihm bei seiner Tätigkeit zur Kenntnis gelangen, Verschwiegenheit wahren. Hierauf weist ihn das Gericht hin. Artikel 190 Der Dienst des Dolmetschers kann von dem Urkundsbeamten der Geschäftsstelle wahrgenommen werden. Einer besonderen Beeidigung bedarf es nicht. |
Loi constitutionnelle sur les tribunaux (1975-2021) Titre XV Langue judiciaire Article 184 La langue du
tribunal est l'allemand. Le droit des Sorabes de parler
sorabe devant les tribunaux des districts d'origine de la
population sorabe est garanti. 1) Si des négociations sont menées avec la participation de justiciables qui ne parlent pas allemand, un interprète doit être consulté. Le procès-verbal additionnel en langue étrangère n'est pas conservé; toutefois, les propos et les déclarations en langue étrangère devraient, si et dans la mesure où le juge l'estime nécessaire compte tenu de l'importance de la question, être également rédigées en langue étrangère dans le procès-verbal ou en annexe. Dans les cas appropriés, une traduction certifiée par l'interprète doit être jointe au procès-verbal. 1a) Le tribunal peut autoriser l'interprète à se trouver à un autre endroit pendant la négociation, l'audition ou l'interrogatoire. La négociation, l'audition ou l'interrogation est transmise simultanément en image et en son à cet endroit et à la salle de réunion. 2) Le recours à un interprète peut être omis si les personnes concernées sont toutes aptes à parler la langue étrangère. 3) En
matière familiale et en matière de juridiction volontaire,
il n'est pas nécessaire de faire appel à un interprète si le
juge parle la langue dans laquelle se déclarent les
justiciables concernés. 1) Le tribunal doit faire appel à un interprète ou à un traducteur pour un justiciable accusé ou condamné, qui ne parle pas allemand, dans la mesure où cela est nécessaire à l'exercice de ses droits dans le cadre de la procédure pénale. Le tribunal doit informer l'accusé dans une langue qu'il comprend ou qu'il peut comprendre à la suite de l'intervention d'un interprète ou d'un traducteur pour l'ensemble de la procédure pénale. 2) Afin d'exercer les droits de la procédure pénale de l'accusé qui ne parle pas allemand, il est généralement nécessaire de disposer d'une traduction écrite des ordonnances de détention, ainsi que des actes d'accusation, des ordonnances pénales et des jugements qui ne sont pas juridiquement contraignants. Un extrait d’une traduction écrite est suffisant si elle préserve les droits de procédure pénale de l’accusé. La traduction écrite doit être mise à la disposition de l'accusé sans délai. Elle peut être remplacée par une traduction orale des documents ou par un résumé oral du contenu des documents, à la condition que cela respecte les droits de l'accusé dans le cadre de la procédure pénale. En règle générale, cela peut être présumé si l'accusé bénéficie d'un avocat de la défense. 3) L'accusé ne peut effectivement renoncer à une traduction écrite que s'il a été informé au préalable de son droit à une traduction écrite, conformément aux paragraphes 1 et 2 et des conséquences de ne pas avoir de traduction écrite. L'instruction, selon la phrase 1, et la renonciation de l'accusé doivent être documentées. Article 188 Les justiciables qui ne parlent pas la langue allemande prêtent serment dans la langue qu'ils connaissent. Article 189 1) L'interprète doit prêter serment qu'il traduira fidèlement et consciencieusement. S'il déclare qu'il ne veut pas prêter serment pour des raisons de religion ou de conscience, il doit en donner une confirmation. Celle-ci équivaut à un serment ; l'interprète doit en être informé. 4)
L'interprète ou le traducteur doit garder le secret sur les
circonstances dont il a connaissance au cours de son
travail. Le tribunal doit le lui faire remarquer. Le service de l'interprète peut être assuré par le greffier du bureau. La prestation de serment spéciale n'est pas nécessaire. |
Verwaltungsverfahrensgesetz (VwVfG) 25.05.1976 Artikel 23 Amtssprache (4) Soll durch eine Anzeige, einen
Antrag oder eine Willenserklärung, die in fremder Sprache
eingehen, zugunsten eines Beteiligten eine Frist gegenüber der
Behörde gewahrt, ein öffentlich-rechtlicher Anspruch geltend
gemacht oder eine Leistung begehrt werden, so gelten die Anzeige,
der Antrag oder die Willenserklärung als zum Zeitpunkt des
Eingangs bei der Behörde abgegeben, wenn auf Verlangen der
Behörde innerhalb einer von dieser zu setzenden angemessenen
Frist eine Übersetzung vorgelegt wird. Andernfalls ist der
Zeitpunkt des Eingangs der Übersetzung maßgebend, soweit sich
nicht aus zwischenstaatlichen Vereinbarungen etwas anderes
ergibt. Auf diese Rechtsfolge ist bei der Fristsetzung
hinzuweisen. |
Loi sur la procédure administrative Le 25 mai 1976 Article 23 Langues
officielles 3) Si un avis, un requête, ou une déclaration d'intention fixe un délai dans lequel l'autorité doit agir d'une certaine manière et que ces actes sont reçus dans une langue étrangère, le délai ne débute qu'à l'instant où une traduction est disponible auprès de l'autorité. 4) Si au moyen d'un avis, d'une requête ou d'une déclaration d'intention reçu dans une langue étrangère, une des parties protégée par un délai a fait une réclamation d'intérêt public ou exige un service de la part de l'autorité, lesdits avis, requêtes ou déclarations d'intention pour une traduction doivent être considérés comme étant reçue dans la délai fixé par l'autorité. Sinon le moment de la réception de la traduction doit être considérée comme définitif, sauf si des accords internationaux prévoient d'autres dispositions. Les conséquences juridiques prévues dans le délai doivent être tenues en compte. |
Strafprozeßordnung, StPO Dolmetscher 1) Einem der Gerichtssprache nicht mächtigen Angeklagten müssen aus den Schlußvorträgen mindestens die Anträge des Staatsanwalts und des Verteidigers durch den Dolmetscher bekanntgemacht werden. 2) Dasselbe gilt nach Maßgabe des § 186 des Gerichtsverfassungsgesetzes für einen hör- oder sprachbehinderten Angeklagten. |
Version publiée le 7 avril
1987 |
Gesetz zur Ausführung des Artikels 11 Abs. 1 des
Rahmenübereinkommens des Europarats vom 1. Februar 1995 zum
Schutz nationaler Minderheiten (Minderheiten-Namensänderungsgesetz),
1997 Artikel § 1 1) Eine Person, auf die sowohl das Rahmenübereinkommen zum Schutz nationaler Minderheiten als auch deutsches Namensrecht Anwendung finden, kann durch Erklärung gegenüber dem Standesamt 1. eine in die Sprache der nationalen Minderheit oder Volksgruppe übersetzte Form ihres Namens annehmen, wenn ihr Name einer solchen Übersetzung zugänglich ist (begriffliche Übertragung), 2. einen durch Veränderung der Schreibweise ihres Namens an eine der Sprache der Minderheit oder Volksgruppe entsprechende Lautung angeglichenen Namen annehmen (phonetische Übertragung) oder 3. einen früher in der Sprache der nationalen Minderheit oder Volksgruppe geführten Namen annehmen, wenn dieser Name in eine deutsche Form übertragen oder in einen anderen Namen geändert worden ist; dabei reicht es aus, daß der oder die Erklärende die frühere Namensführung glaubhaft macht. Das Standesamt, in dessen Bezirk der oder die Erklärende den Wohnsitz oder gewöhnlichen Aufenthalt hat, ist für die Entgegennahme der Erklärung zuständig. Die Landesregierungen werden ermächtigt, durch Rechtsverordnung die Zuständigkeit einem anderen Standesamt zu übertragen. Ergibt sich danach keine Zuständigkeit, ist das Standesamt in Berlin zuständig. 2) Name im Sinne dieses Gesetzes ist der Geburts- oder Vorname, den eine Person nach den Vorschriften des Bürgerlichen Gesetzbuchs sowie des Personenstandsrechts zu führen hat. 3) Die personenstandsrechtlichen Vorschriften über die Schreibweise bleiben für den nach Absatz 1 angenommenen Namen maßgebend. 4) Die Erklärungen nach Absatz 1 müssen öffentlich beglaubigt oder beurkundet werden, wenn sie nicht bei der Eheschließung gegenüber einem deutschen Standesamt abgegeben werden. Sie können auch von den Standesbeamten beglaubigt oder beurkundet werden. |
Loi d'application de l'article 11, paragraphe 1 de la
Convention-cadre du Conseil de l'Europe du 1er
février 1995 pour la protection des minorités nationales (Loi
sur le changement de nom des minorités, 1997 Article 1 1) Toute personne à laquelle s'applique à la fois la Convention-cadre pour la protection des minorités nationales et la loi allemande sur le nom peut, par déclaration au bureau de l’état civil : 1. adopter une forme de son nom traduit dans la langue de la minorité nationale ou du groupe ethnique si son nom est accessible à une telle traduction (traduction conceptuelle); 2. adopter un nom adapté à une prononciation correspondant à la langue de la minorité ou du groupe ethnique en modifiant l’orthographe de son nom (transmission phonétique); ou 3. adopter un nom précédemment employé dans la langue de la minorité nationale ou du groupe ethnique si ce nom a été traduit sous une forme allemande ou changé en un autre nom; il suffit que le déclarant rende possible l’ancien nom. Le bureau d’état civil dans le district duquel le déclarant a son domicile ou sa résidence habituelle est responsable de la réception de la déclaration. Les gouvernements des Länder sont habilités à transférer la responsabilité à un autre bureau d’état civil par ordonnance. S’il n’y a pas de juridiction, le bureau d’enregistrement à Berlin est responsable.
2) Le nom
de famille au sens de la présente loi est le prénom ou le prénom
qu'une personne doit utiliser, conformément aux dispositions du
Code civil et de la Loi sur l'état civil. |
Bürgerliches Gesetzbuch (2002) Artikel 483 Vertrags und Prospektsprache bei
TeilzeitWohnrechteverträgen |
Article 483 Emploi des langues dans les contrats
et les accords de multipropriété |
Gesetz zur
Steuerung und Begrenzung der Zuwanderung und zur Regelung des
Aufenthalts und der Integration von Unionsbürgern und Ausländern
(Zuwanderungsgesetz), Vom 30. Juli 2004 Artikel 16 Kapitel 3 Fôrderung der Integration Artikel 43 Integrationskurs1) Die Integration von rechtmäβig auf Dauer im Bundesgebiet lebenden Auslândern in das wirtschaftliche, kulturelle und gesellschaftliche Leben in der Bundesrepublik Deutschland wird gefördert. 2) Eingliederungsbemühungen von Ausländern werden durch ein Grundangebot zur Integration (Integrationskurs) unterstützt. Der Integrationskurs umfasst Ange-bote, die Ausländer an die Sprache, die Rechtsordnung, die Kultur und die Geschichte in Deutschland heranführen. Ausländer sollen dadurch mit den Lebensverhältnissen im Bundesgebiet so weit vertraut werden, dass sie ohne die Hilfe oder Vermittlung Dritter in allen Angelegenheiten des täglichen Lebens selbständig handeln ktinnen. 3) Der Integrationskurs umfasst einen Basis-und einen Aufbausprachkurs von jeweils gleicher Dauer zur Erlangung ausreichender Sprachkenntnisse sowie einen Orientierungskurs zur Vermittlung von Kenntnissen der Rechtsordnung, der Kultur und der Geschichte in Deutschland. Die erfoigreiche Teilnahme wird durch eine vom Kursträger auszustellende Bescheinigung über den erfolgreich abgelegten Abschlusstest nachgewiesen. Der Integrationskurs wird vom Bundesamt für Migration und Flüchtlinge koordiniert und durchgeführt, das sich hierzu privater oder ôffentlicher Trâger bedienen kann. Für die Teilnahme am Integrationskurs sollen Kosten in angemessenem Umfang unter Berücksichtigung der Leistungsfähigkeit erhoben werden. Zur Zahlung ist auch derjenige verpflichtet, der dem Ausländer zur Gewâhrung des Lebensunterhalts verpflichtet ist. Artikel 44a Verpflichtung zur Teilnahme an einem Integrationskurs
In den Fällen des Satzes 1 Nr. 1 stellt die Ausländerbehörde bei der Ausstellung des Aufenthaltstitels fest, ob der Ausländer zur Teilnahme verpflichtet ist. 2) Von der Teilnahmeverpflichtung ausgenommen sind Ausländer,
|
Loi
sur la maîtrise et la limite de l'immigration et sur la
réglementation du séjour et de l'intégration des citoyens
européens et étrangers (Loi sur l'immigration) du 30 Juillet
2004
Article 16 2) En règle générale, aucun permis de résidence pour un autre motif ne sera accordé ou renouvelé au cours du séjour, conformément au paragraphe 1, sauf si une action en justice s'applique. L'article 9 ne s'appliquent pas. 3) Le permis de séjour donne droit à obtenir un emploi ne totalisant pas plus de 90 jours ou 180 demi-journées par année, et à obtenir un emploi d'étudiant à temps perdu. 4) Après la réussite des études, le permis de séjour peut être prolongé jusqu'à une année à des fins de recherche d'un emploi correspondant aux qualifications, à la condition qu'il soit permis de combler un poste vacant par des étrangers, conformément aux dispositions contenues dans les articles 18 à 21. 5) Tout étranger peut se voir accorder un permis de séjour pour assister à des cours de langue qui ne servent pas à des fins de préparation de cours et, dans des cas exceptionnels, n'est accordé qu'à des fins scolaires. Le paragraphe 2 s'applique en conséquence. Chapitre III Promotion de l'intégration Article 43 Cours d'intégration 1)
L'intégration des étrangers vivant légalement sur le territoire
fédéral de façon permanente dans la vie économique, culturelle
et sociale de la République fédérale d'Allemagne doit être
encouragée. 3) Le cours d'intégration comprend un cours de base de la langue et un cours avancé d'une durée égale de façon à obtenir une maîtrise linguistique suffisante et un cours d'orientation destinée à assurer une connaissance du système juridique, de la culture et de l'histoire de l'Allemagne. La participation réussie est attestée par un certificat émis par les l'organisme chargé de l'exécution des cours de langue. Le cours d'intégration est coordonné et mis en œuvre par l'Office fédéral des migrations et des réfugiés, qui peut faire appel à cette fin à des services de la part d'organismes privés. La participation aux cours d'intégration peut être facturée de façon raisonnable afin de couvrir les frais en tenant compte de la capacité de payer. La personne qui est dans l'obligation d'assurer la subsistance d'un ressortissant étranger doit également être tenue de payer ces frais. Article 44a Obligation d'assister à un cours
d'intégration
Dans les cas visés par la phrase 1 du paragraphe 1, l'autorité émet à l'étranger un permis de séjour si cet étranger est obligé de participer. 2) Tout étranger peut être exempté de l'obligation de participer au cours d'intégration:
|