Afrique du SudLoi
sur le Conseil des spécialistes 2014 |
The South African Language Practitioners’ Council Act, 2014 Section 3 (a) administer funds appropriated by an Act of Parliament; (b) initiate and administer funding from sources other than that appropriated by an Act of Parliament; (c) consult and liaise with —
(d) promote liaison among language practitioners; (e) promote liaison and coordination in the field of training and accreditation pertaining to language professionalisation, both in the Republic and elsewhere, and to promote the standards of such training in the Republic; (f) analyse and prioritise education and training needs in the language profession and make recommendations on the provision of such education and training; (g) recognise accreditation of voluntary associations that are in the language profession; (h) levy and recover fees from registered persons; (i) grant, refuse, ratify and withdraw accreditation; (j) determine strategic policy, and make decisions in terms thereof, with regard to the Council and the registered professions, for matters such as finance, education, registration, accreditation, ethics and standards of professional conduct, disciplinary procedure, scope of the professions, professional matters and maintenance and development of professional competence; (k) coordinate the activities of the Council established in terms of this Act; (l) propose levels of competency testing and qualifications; (m) monitor and audit achievements in terms of those prescribed standards and qualifications without itself being the provider of education and training; (n) keep a record of registered language practitioners; (o) devise a manner of application for registration and consider applications for registration; (p) develop and implement the national system of registration for professional language practitioners; (q) develop and implement a framework for the accreditation of language practitioners at all levels; (r) develop, implement, enforce and revise the professional code of conduct governing the conduct of all registered language practitioners; (s) perform any other developmental function relating to the provision of language services that may be required by the Minister; (t) perform any other function aimed at the development of language professionals; (u) perform any other function necessary to attain the objectives of this Act; and (v) develop, implement, enforce and review the code of conduct of all registered and accredited language professionals. 2) The Council may advise the Minister on— (a) accreditation and competency levels in the language profession to improve the provision and the quality of services rendered by language practitioners, through adequate education and training; (b) standards, competency testing and accreditation in the language profession; (c) relevant international standards; and (d) any matter falling within the scope of this Act. 3) In order to promote uniformity and cooperation by all organs of state on matters relating to the language practice, the Council must— (a) at least twice a year, convene meetings between organs of state that have an interest in any matter related to the language practice; (b) act as a link between organs of state and stakeholders in the language practice in the Republic; and (c) liaise and interact with an organisation, structure or body
that has an interest 4) The Council may enter into agreements with any person with expert knowledge in a particular field so as to assist or advise the Council in connection with any matter relating to its objects, powers, duties and functions in terms of this Act. Section 6 (a) at least eight, but not more than 12, members appointed by
the Minister; and (a) appropriate knowledge, experience and skills in the language
practice, or
Section 20 (b) The Minister may withdraw or amend any strategic guideline or policy directive issued in terms of paragraph (a). Section 39 4) A person is guilty of an offence if he or she does professional work of a language practitioner without being in possession of a valid accreditation or registered certificate for the period in question. |
Loi sur le Conseil des spécialistes des langues sud-africaines (2014) Article 3 Article 4 (a) promouvoir et protéger les pratiques linguistiques
dans
la République; (a) administrer les fonds alloués par une loi du Parlement; (b) initier et gérer des fonds des autres sources que les crédits affectés par une loi du Parlement; (b) consulter et assurer la liaison avec :
(d) promouvoir les relations auprès des spécialistes de la langue ; (e) promouvoir les relations et la coordination dans le domaine de la formation ainsi que l'accréditation se rapportant à la professionnalisation de la langue, dans la République et ailleurs, et promouvoir les normes de formation dans la République ; (f) analyser et hiérarchiser les besoins en éducation et en formation dans les professions langagières et faire des recommandations sur l'offre en éducation et en formation; (g) reconnaître l'accréditation des associations bénévoles qui sont dans les professions langagières; (h) percevoir et récupérer les frais des personnes inscrites; (i) accorder, refuser, ratifier et retirer un accréditation; (j) déterminer les politiques stratégiques et prendre des décisions en fonction de celles-ci à l'égard du Conseil et les professions inscrites, pour des questions telles que les finances, l'éducation, l'inscription, l'accréditation, l'éthique et les normes de conduite professionnelle, la procédure disciplinaire, la portée des professions, les questions concernant les professions, l'entretien et le développement des compétences professionnelles; (k) coordonner les activités du Conseil selon les dispositions de la présente loi; (l) proposer des niveaux de tests de compétence et de qualification; (m) surveiller et vérifier les réalisations concernant les normes et les qualifications prescrites sans être lui-même le fournisseur en éducation et en formation; (n) tenir un registre des spécialistes reconnus de la langue ; (o) concevoir une méthode pour les demande d'inscription et d'examiner les demandes d'inscription; (p) élaborer et mettre en œuvre le système national d'enregistrement pour les spécialistes du langage; (q) élaborer et mettre en œuvre un cadre pour l'accréditation des spécialistes de la langue à tous les niveaux; (r) élaborer, mettre en œuvre, appliquer et réviser le Code de déontologie régissant la conduite de tous les spécialistes reconnus de la langue; (s) exercer tout autre fonction de développement liée à l'offre de services linguistiques qui peuvent être exigés par le Ministre; (t) exercer toute autre fonction visant le développement des spécialistes de la langue; (u) exercer toute autre fonction nécessaire pour atteindre les objectifs de la présente loi; et (v) élaborer, mettre en œuvre, appliquer et réviser le Code de conduite ou de tous les professionnels de la langue reconnus et accrédités. 2) Le Conseil peut conseiller le Ministre concernant : (a) une accréditation et les niveaux de compétences dans la profession langagière afin d'améliorer l'offre et la qualité des services rendus par les spécialistes de la langue par le biais d'une éducation et d'une formation appropriées; (b) les normes, les tests de compétence et d'accréditation dans la profession langagière; (c) les normes internationales pertinentes; et (d) toute question relevant du champ d'application de la présente loi. 3) Dans le but de promouvoir l'homogénéité et la coopération dans tous les organismes de l'État concernant les questions relatives aux pratiques linguistiques, le Conseil doit : (a) au moins deux fois l'an, convoquer des réunions entre les organismes de l'État qui sont concernés par toute question reliée aux pratiques linguistiques; (b) agir comme liaison entre les organismes de l'État et des intervenants dans les pratiques linguistiques de la République ; et (c) assurer les relations et interagir avec une organisation, une structure ou un organisme ayant un intérêt dans une affaire reliée aux pratiques linguistiques. 4) Le Conseil peut conclure des accords avec toute personne ayant des connaissances spécialisées dans un domaine particulier afin d'aider ou d'aviser le Conseil au sujet de toute question se rapportant à ses objectifs, ses pouvoirs, ses obligations et ses fonctions selon les dispositions de la présente loi. Section 6 (a) d'au moins huit
membres, mais plus que 12 désignés par le Ministre; et (a) les connaissances, l'expérience et les compétences dans les
pratiques linguistiques, ou
Article 20 (b) Le ministre peut retirer ou modifier une orientation stratégique ou une directive de politique émise en vertu du paragraphe a).
Article 39 4) Une personne est coupable d’une infraction si elle fait un travail professionnel en tant que praticien de la langue sans être en possession d'une accréditation valide ou un certificat enregistré pour la période en question. |